Veinotoniques, mais aussi bronchodilatateurs ou anti-arthrosiques, etc., quels que soient les produits concernés, les déremboursements se traduisent généralement par une hausse des prix. « Lors d’un déremboursement, les ventes chutent de 50 à 80 %. Pour faire face, le fabricant augmente son prix. Comme le médicament n’est plus remboursable sa TVA passe de 2,1 % à 10 %. Par ailleurs, la marge des pharmaciens est aussi plus importante. Tous ces facteurs expliquent la hausse du prix lors d’un déremboursement », résume le Pr Claude Le Pen dans un communiqué de l’Aflar.
Une étude de l’Irdes menée en 2011 par Sylvain Pichetti et Catherine Sermet confirme le phénomène. Ce travail s’est intéressé à l’impact des vagues successives de déremboursement survenues entre 2002 et 2011. Il met en évidence une hausse de prix moyenne de 43 %.
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