Le 3ème plan cancer, révêlé le 4 février 2014 par le Président de la République ne convient qu’à motié au Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG). Mêm s’il approuve le développement d’une médecine « personnalisée », la lutte contre les inégalités face au cancer et l'institution d'un « droit à l'oubli » pour les patients guéris, le syndicat que préside Théo Combes évoque une certaine «déception» : non reconnaissance des cancers d'origine professionnelle, question du prix du tabac «éludé» et mise en avant trop appuyé, selon le syndicat, de la vaccination contre le HPV pour réduire l’incidence du cancer du col de l'utérus, enfin, «discours sans nuances du Président» concernant le dépistage du cancer du sein...
Surtout, le SNJMG regrette l’insuffisance de moyens développés en direction des médecins généralistes. Et de continuer à réclamer «les moyens de remplir leur mission» : recueil systématique de l’avis du médecin traitant lors des réunions de concertation pluridisciplinaire, dotations forfaitaires pour le financement du secrétariat, rémunération de la coordination avec les autres professionnels de santé, création d’actes spécifiques de prévention et de suivi des cancers par le médecin généraliste pris en charge à 100% pour tous les patients…
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