Alors que le risque hémorragique reste la principale crainte suscitée par les AOD (anticoagulants oraux directs), le laboratoire Boehringer Ingelheim vient de déposer auprès de l’EMA, de la FDA et des autorités de santé canadiennes, une demande d’AMM pour l’idarucizumab, l’agent de réversion spécifique (ou antidote) du dabigatran (Pradaxa®).
En phase I, l’idarucizumab a montré un effet de réversion immédiat, complet et persistant de l’anticoagulation induite par le dabigatran sans effet pro-thrombotique constaté. Une étude de phase III est en cours
et évaluera l’idarucizumab chez des patients traités par Pradaxa® et nécessitant une intervention chirurgicale en urgence ou ayant une hémorragie non contrôlée ou menaçant le pronostic vital.
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé