Le cours de bourse d’Ipsen a été chahuté le 16 février dernier après l’annonce surprise du départ de Christel Bories, directrice générale déléguée du laboratoire français. Elle avait été recrutée il y a trois ans, en provenance de l’industrie lourde, afin de jouer un rôle majeur dans la transformation du groupe. Mission a priori réussie. Les résultats financiers ont été optimisés et seront présentés le 1er mars prochain. En tout état de cause, le laboratoire est moins dépendant du marché hexagonal, avec un chiffre d’affaires inférieur à 30 %. Les États-Unis constituent désormais la première filiale du groupe. Avec ce départ, la gouvernance d’Ipsen est appelée à se modifier. Marc de Garidel, PDG du laboratoire, deviendra président non exécutif. Le prochain directeur général devrait être issu de l’industrie pharma ou des biotechs. Il aura pour mission de réaliser les objectifs fixés pour 2020, à savoir une marge opérationnelle de 26 % et une progression des ventes devant atteindre deux milliards d’euros.
Ipsen se sépare de la numéro 2 du groupe
Publié le 18/02/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
Dès 60 ans, la perte de l’odorat est associée à une hausse de la mortalité