L’arsenal thérapeutique dans le cancer de l’ovaire en échappement est aujourd’hui limité. Une nouvelle option avec le niraparib (Tesaro/Johnson & Johnson) devrait modifier la donne. Cet inhibiteur de PARP administré en entretien permet d’allonger la survie sans progression dans le cancer de l’ovaire en rechute traité au préalable par le platine. Quel que soit le statut de mutation au BRCA1, une amélioration a été notée. Chez les patientes porteuses d’une mutation de BRCA1, la survie sans progression a été réduite de 73 %. A 18 mois, 50 % des femmes des femmes avec mutation de BRCA1 étaient en vie sans progression. Dans le groupe sous placebo, elles n’étaient que 16 % dans le groupe placebo. Chez les patientes sans mutation dans le groupe sous niraparib, le pourcentage s’est élevé à 30 % versus 12 % dans le groupe placebo. Cet inhibiteur de PARP devrait donc être proposé à un grand nombre de patientes et modifier le pronostic de la maladie.
Brève
Un espoir dans le cancer de l’ovaire
Publié le 23/11/2016
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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