Alors que la semaine du 23 au 29 mars avait connu un pic avec 190 cas de soignants de l'AP-HP contaminés chaque jour, la décrue s'est amorcée la semaine suivante avec une moyenne de 114 cas par jour la semaine du 30 mars. La semaine suivante, cette baisse s'est accentuée avec 77 cas de contamination par jour. Au 12 avril, 3 800 professionnels ont été touchés par la maladie, selon les données des équipes opérationnelles d’hygiène et des services de santé au travail des hôpitaux de l’AP-HP. A noter, toutes les catégories professionnelles sont concernées en proportion comparable, autour de 4% de l’effectif. La source de contamination d'un professionnel hospitalier peut être communautaire (hors du lieu de travail) ou hospitalière (au contact d’un patient ou d’un collègue). Au final, seuls trois personnels sont décédés après avoir contracté le virus, déplore l'AP-HP.
Santé mentale : l’Europe s’engage à Paris à travers des politiques transversales
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir