« On a rajouté des postes, mais les collègues partis à la retraite n'ont pas été remplacés. Donc les effectifs n'ont pas évolué. Envisager comme moyen de pression de nouveau la grève de la faim n'est pas exclu. »
Céline Prévost, syndicat Sud à l'hôpital psychiatrique du Rouvray (Rouen) dont les syndicats ont relancé une grève illimitée à partir du jeudi 169 septembre.
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