Le gouvernement compte « renforcer » les centres de vaccination pour faire face aux demandes, et également « s'appuyer massivement » sur les médecins de ville - ainsi que sur les pharmaciens, infirmiers, sages-femmes ou autres kinés - pour réaliser les injections. En outre, contrairement à la situation qui prévalait au moment de l'arrivée des premières doses, il y a un peu moins d'un an, « nous avons en stock, à l'heure où je vous parle, suffisamment de vaccins pour vacciner tout le monde », a souligné le ministre de la Santé.