Comme l’a rappelé l’Institut national du cancer (INCa) dans sa campagne d’information lancée en juin dernier, la prévention du cancer du col de l’utérus passe par la vaccination, désormais recommandée à toutes les jeunes filles dès l’âge de 11 ans, et le dépistage actuellement réalisé par frottis répétés tous les 3 ans. Ce dernier reste indispensable car le vaccin ne protège pas contre tous les types de papillomavirus (HPV) oncogènes mais seulement contre les types 16 et 18, responsables de 70 % des cancers du col de l’utérus. Le dépistage régulier est donc nécessaire et ce, même après la ménopause y compris en l’absence de rapports sexuels.
Pour mémoire, on dénombre quelque 3 000 cas de cancer du col de l’utérus chaque année en France chaque année et près de 1 000 décès lui sont imputables.
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