REGROUPÉES au sein de l’UNOCAM avec les mutuelles et les assureurs privés, et impliqués de facto dans les négociations sur les dépassements d’honoraires, les institutions de prévoyance (IP) ont fait part de leurs doutes quant au dénouement des discussions, espéré le 17 octobre par le ministère de la Santé et la CNAM.
« Dans ces discussions, l’équation est complexe et l’emploi du temps contraint », estime Évelyne Guillet, directrice santé du Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP). Évoquant ce calendrier serré, Évelyne Guillet s’est dite « peu sûre de parvenir en quelques semaines à trouver une solution à une histoire qui dure depuis trente ans ».
Organismes paritaires à but non lucratif, les institutions de prévoyance couvrent plus de 13 millions de salariés à travers deux millions d’entreprises au titre de la prévoyance et de la complémentaire santé.
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