« Rand est médecin et cela lui donne une perspective unique à Washington. Il est formé pour diagnostiquer un problème et trouver une solution. »
Au micro : Kelley Paul née Ashby, épouse du deuxième républicain à se lancer dans la course à la Maison Blanche, le sénateur – et donc docteur, c’est devenu un argument de campagne – Rand Paul.
Précisément ophtalmologue, élu du Kentucky, Randal Howard Paul, 52 ans, rêve de la présidentielle américaine de 2016 avec un objectif : « ramener (son) pays aux principes de liberté et de gouvernement limité ».
Sur l’échiquier politique, l’homme n’est pas, à proprement parler, à gauche. Issu du Tea Party, le Dr Paul se présente comme un « nouveau genre de républicain ». Libertaire – conservateur sur les questions économiques, libéral sur les questions de société –, il est en guerre ouverte avec les néoconservateurs de son parti, dénonce l’interventionnisme des années Clinton, Bush et Obama ; sa ligne économique est ultra-libérale.
Rand Paul est aussi le fils de son père Ron. Deux fois. Car Ron Paul fut en son temps candidat « libertaire » à la présidentielle américaine – celle de 1988 – et aux primaires républicaines de 2008 et 2012 ; il fut aussi médecin, gynécologue-obstétricien pour être exact.
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents
Affaire Le Scouarnec : l'Ordre des médecins accusé une fois de plus de corporatisme
Procès Le Scouarnec : la Ciivise appelle à mettre fin aux « silences » qui permettent les crimes