L’histoire a montré que le secret médical et le secret d’État allaient de pair lorsqu’un président était affecté d’une maladie grave.
Mais même avec un président en bonne santé, le secret est la règle. Malgré l’accord confirmé par le service de presse de l’Élysée, le médecin en chef Jean-Christophe Perrochon, urgentiste du service de santé des armées détaché à l’Élysée pour diriger le service médical, a finalement refusé de recevoir le Quotidien (contrairement à son prédécesseur, le médecin en chef Claude Kalfon, médecin de François Mitterrand, puis de Jacques Chirac).
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