Même si les ressources disponibles en 2008 sont encore insuffisantes, elles ont atteint leur niveau le plus élevé depuis le début de la riposte contre l’épidémie. Les pays développés se sont engagés à hauteur de 8 milliards, 6,6 milliards de plus qu’en 2007. Les États-Unis restent, notamment à travers le PEPFAR (plan d’urgence en faveur du VIH sida), le premier contributeur de la réponse globale (51 % des fonds alloués par les donateurs), devant le Royaume-Uni, les Pays-Bas (6,5 %), la France (6,4 %), l’Allemagne (6,2 %), la Norvège (2 %) et la Suède (2 %).
Dans les pays qui en bénéficient, le financement des programmes est assuré par les fonds nationaux (52 %), l’aide bilatérale (31 %), l’aide multilatérale (12 %) et le secteur philanthropique (5 %).
Selon le rapport, un des défis des prochaines années pour le financement durable des programmes de VIH sera de trouver le juste équilibre entre les fonds internationaux et nationaux.
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