À côté des facteurs de risque classique de fracture ostéoporotique, d’autres facteurs favorisants semblent être en cause comme les troubles nutritionnels (patients cachectiques), l’hypogonadisme, les troubles du métabolisme phosphocalcique ou encore l’infection par le VIH en elle-même. À noter qu’un hypogonadisme est retrouvé chez 20 à 30 % des hommes HIV + tous stades confondus [7].
Les facteurs de risque de fracture
Publié le 01/06/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Bilan spécialistes
Santé mentale : l’Europe s’engage à Paris à travers des politiques transversales
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir