À peine nommé au « super-ministère » de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Benoît Hamon a reçu les premières sollicitations des internes (ISNAR-IMG), des jeunes installés et remplaçants (REAGJIR) ainsi que des enseignants (SNEMG) de médecine générale. Les trois syndicats demandent à leur nouveau ministre de tutelle de « relancer les travaux sur la filière universitaire » de leur discipline, « en panne depuis la prise de fonction de Geneviève Fioraso ».
« Nous espérons que Benoît Hamon saura s’emparer de ce dossier primordial pour la profession dans son ensemble », expliquent les trois organisations.
Un statut pour permettre aux chefs de poursuivre leur carrière
Ils réclament plus particulièrement que les chefs de clinique universitaires de médecine générale (CCU-MG) sortants (le plus souvent au bout de 4 ans) puissent disposer d’un statut intermédiaire sur le modèle des praticiens hospitaliers universitaires des autres spécialités leur permettant de « préparer sereinement » le concours de maître de conférence des universités.
« Faute de statut, ce sont des promotions entières de jeunes universitaires motivés qui se verront contraints d’abandonner leurs missions d’enseignement et de recherche », affirment internes, jeunes professionnels et enseignants de médecine générale, qui demandent à être reçus rapidement par leur nouveau ministre.
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