Souffrant d’une « fièvre suspecte », une infirmière a été admise jeudi 16 octobre à l’hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé, près de Paris. Les premiers tests de détection du virus Ebola sur sa personne se sont révélés négatifs a affirmé jeudi soir une source proche du dossier. D’autres tests doivent encore être réalisés pour exclure définitivement une infection. La soignante faisait partie de l’équipe médicale en charge de l’infirmière de MSF soignée après avoir contracté le virus Ebola au Liberia.
Les premiers résultats de laboratoire sont possibles six heures après réception des échantillons d’un cas suspect, selon Sylvain Baize, responsable du laboratoire de Lyon, seul habilité en France à rendre un diagnostic sur Ebola. « Si le prélèvement est réalisé moins de deux jours après le début des symptômes, souvent on fait un nouveau prélèvement et on refait un test, le lendemain », a-t-il expliqué, sans s’exprimer sur le cas de l’infirmière hospitalisée.
Transition de genre : premières recos chez l’adulte, la HAS se remet au travail pour les mineurs
L’État s’engage à augmenter le budget de l’EFS pour une souveraineté de la filière plasma
L’exposition infantile au plomb est associée à des troubles de la mémoire
Arrêt des antidépresseurs : des symptômes mais peu fréquents