Claire Compagnon, présidente du comité de pilotage souligne : « Pendant longtemps, le mot sanitaire dans le champ de l'autisme a été un gros mot. Or ces personnes ont des troubles : il y a une réponse sanitaire à mettre en place. La question, c'est quel type de réponse ? Comment faire évoluer l'offre de soins ? »
Et de poursuivre : « Aujourd'hui, il y a encore des pratiques qui ne sont pas conformes aux recommandations de la HAS et une diversité des prises en charge qui nous interroge. Mais il y a eu une évolution importante depuis 2005. On ne lancera pas de nouvelles inspections ; nous allons travailler, au sein du comité de pilotage de la psychiatrie, avec la communauté pédopsychiatrique et les professionnels des hôpitaux de jour pour mieux redéfinir la nature de leurs activités en matière d'autisme. Nous devons accompagner les professionnels dans le changement, l'effort en termes de formation doit être continu ; et nous devons également rendre plus solides les connaissances scientifiques, fondement de ces pratiques. »
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé