Dans un second avis publié dimanche au « Journal officiel », le contrôleur général de privation de liberté juge injustifié le maintien de l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de la police de Paris (IPPP). Structure du XIXe siècle qui accueille des personnes interpellées présentant des troubles psychiques dans le cadre d’un placement provisoire d’urgence décidé par le préfet de police ou un commissaire. « Si l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police était sans équivalent lors de son apparition (…), tel n’est plus le cas aujourd’hui », souligne Jean-Marie Delarue, qui recommande au gouvernement de « mettre dès qu’il sera possible le transfert des moyens de l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police au dispositif hospitalier de droit commun » sans toutefois « modifier les compétences en matière de police sanitaire attribuées au préfet de police et aux commissaires de police » de la capitale.
L’obsolète infirmerie psychiatrique de la police
Publié le 21/03/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8927
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