Face au « chantier considérable » que représentent les nanomatériaux, une mise en réseau entre les organismes européens et internationaux pour se partager le travail est nécessaire, note l’AFSSET. Elle a commencé autour de l’OCDE, qui coordonne des travaux d’évaluation des risques, et de l’ISO (Organisation internationale de normalisation), qui travaille à la mise en place de nouvelles normes. De son côté, l’AFSSET coordonne le projet européen Nanogenotox, qui vise à identifier la toxicité sur les gènes et l’ADN de 14 nanomatériaux. Ce projet, qui implique 18 organismes de 13 pays, a un budget de 6,2 millions d’euros.
Réseau européen
Publié le 25/03/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8737
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation