Plusieurs centaines de professionnels de santé publique de différents pays demandent à la Suède, actuelle présidente de l'Union européenne, d' « accélérer le processus d'arrêt des mesures judiciaires » à l'encontre du Dr Moncef Marzouki, condamné en Tunisie à un an de prison ferme pour appartenance à une « association non autorisée ». Dans leur texte, les signataires, originaires notamment de Suède, de France, des Pays-Bas, des Etats-Unis, de Suisse, du Kenya, d'Allemagne, du Portugal et d'Espagne, souhaitent, en outre, que le gouvernement Jospin reconnaisse « comme un préalable à tout développement des relations scientifiques, techniques ou culturelles en Tunisie, la liberté de sortie du territoire tunisien pour le Dr Marzouki, et renouvelle sa proposition de l'accueillir dans une université française ».
Ancien président de la Ligue tunisienne des droits de l'homme et porte-parole du Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT, non reconnu), le Dr Marzouki, interdit de voyage, a été privé de son emploi de professeur de médecine à la faculté de Sousse pour « abandon de poste ».
Appel en faveur du Dr Marzouki
Publié le 24/01/2001
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6842
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