Faut-il dans le cancer recourir aux marqueurs tumoraux pronostiques et prédictifs ? Leur intérêt est de prédire l’évolution d’un cancer avant traitement. Ce qui permet d’identifier les tumeurs à faible risque de récidive. Chez ces patients, une chimiothérapie n’est pas nécessaire. Un autre cas de figure est de prédire la réponse ou non à une thérapie. C’est là la valeur prédictive de ces tests. Pour autant, ces biomarqueurs ne sont pas tous équivalents. L’Inca distingue ainsi chez les patientes pN0 uPA/PAI-1, marqueurs d’invasion. Le niveau de preuve est élevé pour la valeur pronostique de la survie sans récidive à dix ans. La valeur prédictive de réponse aux antracyclines doit encore être confirmée. En revanche, pour ONCOTYPE DXtm et MammaPrint®, « les valeurs pronostiques et prédictives n’ont pas atteint à ce jour un niveau de preuve élevé », écrit l’Inca. Pour autant, cet avis est un simple état des lieux. De nouveaux résultats conduiraient à réviser ces conclusions.
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Biomarqueurs et cancer du sein, un intérêt limité
Publié le 28/02/2014
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Source : Décision Santé: 295
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