La prise en charge médico-psychologique des mineurs maltraités doit être assurée sans délai et dans des conditions permettant au jeune concerné, à son entourage et aux professionnels qui l'accueillent de surmonter le traumatisme initial, de se reconstruire, et d'éviter pour l'avenir la reproduction, par la victime, des violences subies.
Une instruction de la direction générale de l'Action sociale du 10 janvier indique que « la mobilisation des secteurs de pédopsychiatrie doit être significative » et qu' « il convient d'organiser une coopération efficace » avec tous les intervenants, institutionnels, notamment les pôles régionaux de référence, au nombre de 36 dans l'Hexagone, « pour effectuer ce suivi médico-psychologique ».
Coopération pour l'enfance en danger
Publié le 04/03/2001
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6869
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