Une sécrétion moins importante de mélatonine est liée à un risque accru de diabète adulte (type 2), révèle mardi une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA). Les chercheurs ont identifié 370 femmes (bien 370) de même race et de même âge qui ont développé un diabète de type 2 et 370 autres dans un groupe témoin sans aucun signe de cette maladie. Ils ont constaté que les participantes diabétiques avaient de bas niveaux de mélatonine durant la nuit comparativement au groupe sain. Selon ces chercheurs, de faibles teneurs de mélatonine la nuit font plus que doubler le risque de diabète, comparativement à des niveaux élevés. La sensibilité à l'insuline était plus grande parmi les femmes avec les taux les plus élevés de mélatonine, précisent en outre ces chercheurs.
Le déficit en mélatonine favoriserait le diabète
Publié le 03/04/2013
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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