Ce sont les grandes administrations mal administrantes qui défont notre système. Les restructurations hospitalières se font sous couvert de défaut de recrutement. Celui-ci génère celles-là. Il n'est pas impossible que cela permettre des réductions programmées dans les têtes bien pensantes et théoriciennes. Nous avons vu ce que cela donnait pour le numerus clausus. Nous réclamons des pédiatres dont le numerus clausus est normalement augmenté mais qui sont siphonnés par certains grands centres au détriment de la population.
Vous souhaitez vous aussi commenter l'actualité de votre profession dans « Le Quotidien du Médecin » ? Adressez vos contributions à aurelie.dureuil@gpsante.fr .
Vaccins « de comptoir »
Maladie du greffon contre l’hôte : mon témoignage
Un nouveau président au Cnom : un grand pas vers un changement de paradigme ?
Appliquons la loi