Pourquoi ai-je eu ça ?
Très souvent les patients accusent l’alimentation et la sédentarité, voire une sudation excessive. Mais aucun de ces facteurs ne joue un rôle dans l’apparition ou la régression d’un sinus. Un traumatisme local a parfois été considéré comme un facteur déclenchant, ce qui a fait appeler cette maladie « le syndrome des conducteurs de Jeep » avec un niveau de preuve faible.Quand vais-je pouvoir reprendre le sport ?
La nécessité des soins post-opératoires, la douleur locale, l’exsudation de la plaie et la nécessité de la maintenir au sec limitent durablement les sports, tout particulièrement les sports de contact, aquatiques et, d’une façon générale, tous ceux qui pourraient traumatiser la zone opératoire.
Quelles sont les complications de la chirurgie ?
Il existe des complications mineures, comme un retard de cicatrisation (favorisé par une insuffisance des soins de suite), ou des saignements post opératoires. Mais la complication la plus fréquente, dont il faut informer les patients dès le départ, c’est la récidive. Elle est favorisée par une grande taille initiale du sinus, une insuffisance de résection et une fermeture première de la plaie. C’est la raison qui a conduit à proposer des gestes sans résection tissulaire ou avec une fermeture directe avec plastie. Mais quelle que soit la technique une récidive peut survenir entre 10 et 30 % des cas.
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