Deux milliards d’euros supplémentaires sur dix ans pour « sauver » l’AP-HP : c’est ce qu’a demandé le Conseil de Paris lundi, à l’occasion d’une réunion mouvementée. Le maire de Paris a exigé l’abandon du plan de suppressions d’emplois. « L’enjeu est bien de sauver l’hôpital public de Paris et de son agglomération, a déclaré Bertrand Delanoë. L’AP-HP doit évoluer, c’est une évidence. (...) Mais on ne réformera pas l’hôpital contre les patients, contre les personnels, contre les médecins ». Socialistes, Verts et communistes demandent un moratoire sur les restructurations. Les élus UMP n’ont pas apporté leurs voix au vote. Jean-François Lamour a rappelé que le plan stratégique du CHU, à ce stade, n’est encore qu’un projet. Bernard Debré, quelque peu tiraillé, s’en est pris aux milliers de suppressions de postes programmées par la direction générale de l’AP-HP ( « ce serait une erreur, une faute, un motif de révolte »), tout en critiquant les arguments de Bertrand Delanoë, qu’il a jugés « un peu courts », et « évidents ».
Les vux du Conseil de Paris
Publié le 11/05/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8769
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