L’hôpital n°2 de Suzhou, financé par le ministère chinois de l’Industrie nucléaire, a ouvert en 1988 sur une initiative du Pr Ruan Chang-Geng, surnommé « le roi de la plaquette » dans son pays. Avec son millier de lits, ses 1 500 salariés, ses 800 000 consultations et ses 80 000 urgences annuelles, c’est un établissement de taille moyenne, à la pointe dans plusieurs disciplines (neurologie, cardiologie...). Onze laboratoires de recherche clinique y sont implantés, ainsi qu’une unité d’urgence spécialisée dans les blessures causées par les radiations nucléaires. L’hôpital collabore étroitement avec l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) depuis 1992, et a été rebaptisé hôpital sinofrançais. Plus de 50 médecins de Suzhou sont venus se former en France au cours des 20 dernières années. À leur retour, ils ont implanté diverses techniques comme la laparoscopie et le protocole du TPS en radiothérapie.
L’hôpital de référence pour l’industrie nucléaire
Publié le 16/11/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8856
Padhue : Yannick Neuder promet de transformer les EVC en deux temps
À Niort, l’hôpital soigne aussi les maux de la planète
Embolie aux urgences psychiatriques : et maintenant, que fait-on ?
« Les Flying Doctors », solution de haut-vol pour l’accès aux soins en Bourgogne