La rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP) pourrait s’étendre à d’autres spécialités médicales (réservée à ce jour aux généralistes, médecins traitant de l’enfant, cardiologues, gastro-entérologues et endocrinologues). C’est l’une des pistes de réflexion issue du Ségur de la Santé. Le sujet devrait être abordé lors de futures négociations sur un avenant conventionnel. Au-delà d'améliorer les pratiques médicales des médecins, l’objectif est de « développer des dispositifs d’intéressement collectif à la qualité des soins ». Tous les praticiens n’y sont pas favorables. Ils redoutent un accroissement de la part forfaitaire de leur rémunération, au détriment d'une revalorisation de l’acte de consultation.
La ROSP a-t-elle des effets bénéfiques sur la santé publique ? Contribue-t-elle à améliorer la qualité des soins ? Faut-il l'étendre à d'autres spécialités ? Lesquelles ? Faut-il revoir les indicateurs de la ROSP ? À vous de débattre...
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