Depuis 2016, les dispositions relatives au certificat d’absence de contre-indication à une pratique sportive ont évolué. Objectif : simplifier les règles alors que de nombreux médecins se plaignaient de la pertinence de certaines demandes. Désormais, le certificat de non contre-indication est exigé lors de la première demande d’une licence pour la pratique d’un sport et lors de son renouvellement, mais tous les trois ans seulement (à l’exception de certaines disciplines à risque). Entre deux examens médicaux, les patients doivent renseigner en ligne un questionnaire de santé.
Trois ans après, la mesure a-t-elle porté ses fruits ? Faut-il, comme le suggérait récemment une députée LREM supprimer carrément ce certificat (sauf pour certaines pratiques sportives) ? À vous de débattre...
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
Face au casse-tête des déplacements, les médecins franciliens s’adaptent
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique