Avec ses propres us et coutumes, l’hôpital connaît lui aussi un phénomène de rejet de l’installation : les médecins mercenaires y sont de plus en plus nombreux qui volent de postes vacants en postes vacants – parfois de gardes en gardes. Leurs motivations sont financières (une journée de travail peut avoisiner les 1 000 euros) mais correspondent aussi à un choix de vie (les médecins mercenaires optent volontiers pour des formules « un mois de travail/un mois de vacances »).
Mercenaires hospitaliers : des remplaçants très spéciaux
Publié le 15/09/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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