Après des mois de réflexion, la France s’apprête à ouvrir la voie à une « aide à mourir ». Les médecins seront en première ligne dans ce dispositif : ce sont eux qui examineront les demandes des patients, qui auront la charge de prescrire le produit létal et qui, le cas échéant, l’administreront. Pour les partisans d’une aide à mourir, ce geste s’apparente à un ultime soin dispensé à la demande de patients arrivés au bout de leurs souffrances. De nombreux soignants s’opposent cependant à une forme d’« administration de la mort », loin de la vocation des médecins de « lutter pour la vie » et contraire au serment d’Hippocrate.
L’aide à mourir est-elle l’acte médical ultime ? Est-ce aux médecins de l’administrer ? Les soins palliatifs répondent-ils à tous les besoins d’accompagnement de la fin de vie ? Comment les améliorer ? Redoutez-vous une nouvelle usine à gaz pour appliquer cette future loi ? À vous de débattre…
En partenariat avec France Info
C’est ma santé : les bienfaits des feel good movies
C’est vous qui le dites
« C'est beaucoup plus facile de s'installer en Belgique et en Suisse qu'en France »
Il n’est pire sourd que le député qui ne veut entendre
Éditorial
Trump : l’électrochoc