« Après des années de recommandations - souvent demeurées lettre morte - il n'est que temps d'entrer dans le concret, d'identifier les lacunes et de mesurer les efforts fournis qui permettront de mieux s'organiser et de rendre plus efficaces les ressources publiques dédiées. Le dialogue entre les responsables techniques (DSI, RSSI, DPO et ingénieurs biomédicaux) avec les directions générales doit être encouragé pour que ces derniers prennent pleinement conscience de l'importance stratégique du sujet et de leur responsabilité devant les juridictions en cas de défaut. Les récentes décisions budgétaires, si elles restent prudentes, vont dans le bon sens alors que se multiplient les risques (internes) et les menaces (internes et externes). »
Décès du Pr Étienne-Émile Baulieu, père de la pilule abortive
Lois fin de vie : l’exercice démocratique salué, mais des divisions sur le fond
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Procès Le Scouarnec : le maximum de 20 ans de réclusion requis avec rétention de sûreté