La méthode n’a pas été clairement définie. Chacun pousse ses pions. Pour les médecins libéraux, ce serait le retour à l’ancien hôpital local. Pour les CPTS, elles devraient devenir les nouveaux hôpitaux de proximité. Quant à la nomenklatura, elle se voit déjà dans la contrainte de dégrader certains hôpitaux qui disposent d’un service d’urgence. Cela devrait être le rôle exclusif des ARS. On a fait une erreur conceptuelle. Le spectre des ARH était trop petit. On l’a élargi à toute la santé. Qui trop embrasse, mal étreint. On ne devrait pas confondre les fonctions d’animateur et d’inspection régalienne des territoires. Il faudrait en fait autant d’hôpitaux de proximité que de territoires. Il ne faudrait pas que la DGOS s’en occupe. Et laisser en revanche une liberté totale aux ARS sur ce dossier. La DGOS ne devrait pas s’occuper de l’hôpital local. L’histoire de Longué-Jumelles est exemplaire. Pourquoi un ex-hôpital local en faillite ne pourrait être repris ?
La création d’hôpitaux de proximité est-elle une avancée ?
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Publié le 23/01/2020
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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