La majorité des consommateurs à risque n’ont pas besoin de soins spécialisés, mais de mesures structurelles de prévention et de réduction des consommations.
Les experts recommandent entre autres :
– le durcissement de la loi Evin : interdiction de la publicité sur internet et dans l’espace public ; campagnes de contre-marketing auprès des jeunes ;
– l’augmentation des prix, via une taxation ou un prix minimum ;
– un contrôle plus strict de l’accès des mineurs à l’alcool ;
– le développement des compétences des usagers, mais aussi des parents, et le soutien aux campagnes type « Dry January ».
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