Un essai présenté à l’ASCO 2014 a testé l’ipilumab après chirurgie et curage ganglionnaire des formes en rémission. Pour mémoire, la chimiothérapie n’a pas montré son intérêt dans cette situation et celui de la radiothérapie est limité aux rechutes locales dans les rechutes ganglionniares cervicales ou axillaires avec plus de 3 ganglions positifs. L’ipilimumab diminue de 25% le risque de rechute mais sa toxicité, sans doute liée à l’utilisation d’une forte dose, est trop importante dans cette population de patientes.
En traitement adjuvant
Publié le 23/06/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9337
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