REVEL, une vaste étude de phase III, a testé en seconde ligne de traitement l’addition au traitement par taxane (docetaxel) d’une biothérapie ciblant le VEGF, le ramucirumab. Menée sur plus de 1 200 CPNPC de stade IV en progression, elle met en évidence une amélioration significative de 1,4 mois en survie, (9,1 vs. 10,5 mois ; RR = 0,857 ; p = 0,023) et de 1,5 mois en survie sans progression (3 vs. 4,5 mois ; p ‹ 0,0001). Un bénéfice modeste, pour certains.
« C’est néanmoins la première étude de phase III depuis une dizaine d’années à montrer un bénéfice en survie en seconde ligne dans les CNPC avancés, toujours de mauvais pronostic », souligne Maurice Perol (Lyon).
Asbract LBA 8006
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024