L’activité physique réduit le risque de rechute de cancer de 25 à 50 % selon les études. Les patients pratiquant une activité physique ont moins de sarcopénie, l’activité physique accroissant les masses musculaires, moins de graisse abdominale, source de cytokines et moins d’insulino-résistance. Ces effets biologiques aboutissent à moins de fatigue, de troubles cognitifs et du sommeil induits par les cytokines, à une réduction de la croissance cancéreuse qui dépend de l’insuline. Les bénéfices biologiques ne durant que 72h, il est nécessaire d’organiser des séances d’activité physique trois fois par semaine. Les séances doivent combiner exercices en aérobie (pour renforcer le bloc cardiorespiratoire et réduire les complications de la chirurgie) et résistance (pour augmenter la masse musculaire et diminuer la masse graisseuse, produire moins de cytokines, baisser l’insulino résistance et les risques de rechute cancéreuse).
Une pratique régulière nécessaire
Publié le 22/06/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9422
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024