Suite à la lettre du Syndicat des jeunes biologistes adressée à Marisol Touraine, ministre de la Santé, l’ANSM rappelle sur son site les points importants d’un traitement anticoagulant et les dispositifs de surveillance à l’échelon national et européen pour l’ensemble nouveaux anticoagulants oraux (NACO).
Des médicaments sous surveillance renforcée
Depuis 5 ans, les NACO sont apparus sur le marché. Ils peuvent, comme les autres anticoagulants, être à l’origine de complications hémorragiques parfois graves. Ces nouveaux anticoagulants font, comme tous les nouveaux médicaments, l’objet d’un suivi renforcé de leur sécurité d’emploi en France et en Europe. Les données de sécurité d’emploi des nouveaux anticoagulants (NACO) ne mettent pas en évidence de risque hémorragique supérieur à celui des anticoagulants de la génération précédente (Antivitamines K).
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) rappelle que la mise en place d’un traitement anticoagulant doit se conformer aux indications, doses et précautions d’emploi spécifiques à chaque médicament. Les patients ne doivent pas arrêter leur traitement sans avis médical.
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