- L’Académie recommande le maintien d’un comité d’experts, en en facilitant le fonctionnement et en allégeant la procédure.
- Des psychologues spécialisés devraient pouvoir intervenir auprès des équipes de transplantation, pour aider à la décision finale et valoriser, avant et après le don, la personnalité du donneur.
- Des enquêtes d’ordre psychologique et social intéressant donneur et receveur devraient trouver leur place dans le registre de suivi des donneurs mis en place par l’Agence de la biomédecine.
- Lorsque le donneur subit un préjudice durable, au-delà de la période de prise en charge prévue par l’assurance-maladie, il devrait pouvoir bénéficier de l’ONIAM (Office national d’indemnisation des actes médicaux) en raison de sa participation à un acte de soin.
Le pilotage de précision des grossesses sous immunosuppresseurs
Sarcoïdose : souvent thoracique, mais pas que
Savoir évoquer une dermatose neutrophilique
Un Pots encore mal connu