Une équipe de recherche en santé connectée regroupant des praticiens du service d'endocrinologie de l'hôpital Bichat (AP-HP), l'INSERM et l'université Paris Diderot lance une étude observationnelle nationale pour évaluer l'intérêt de la santé connectée dans la prévention des maladies cardiovasculaires.
Un appel à volontaires a été lancé du 20 novembre au 20 janvier 2018 pour recruter 5 000 personnes souhaitant évaluer leur risque cardiovasculaire. Un programme leur sera proposé pour améliorer la gestion des facteurs de risque tels que l'hypertension, le diabète ou le cholestérol. L'enjeu est d'accompagner les patients qui ne prennent pas le temps de consulter régulièrement leur médecin traitant ou qui vivent dans un désert médical. « Notre mission est de démontrer l'utilité des services de santé connectée, et surtout de déterminer quelles sont les populations qui peuvent en tirer le plus grand bénéfice », explique le Dr Boris Hansel, endocrinologue à Bichat.
Les premiers résultats sont attendus en septembre 2018.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024