Si l’optimisme est de mise, plusieurs points doivent toutefois être soulignés. Tout d’abord la nécessité de poursuivre les efforts en matière de dépistage : traiter les patients connus c’est bien, traiter tous les sujets infectés par le VHC c’est encore mieux. Ensuite, le besoin de suivre les patients traités. « L’éradication virale ne fait pas tout, l’hépatopathie peut parfois continuer à évoluer, ce qui légitime la poursuite du suivi », insiste le Pr Piroth. Et ce, d’autant plus qu’une ré-infection est toujours possible, et peut concerner un nombre non négligeable de sujets (5 % par an dans une étude britannique récente), en fonction des prises de risque en termes d’injections ou de sexualité.
Maintenir la vigilance
Publié le 26/11/2015
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Dr Isabelle Hoppenot
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Source : Congrès spécialiste
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