L’aversion à la perte

Publié le 23/03/2009
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Qu’appelle-t-on « aversion à la perte » ? On désigne ainsi la répugnance, relativement répandue chez les investisseurs, à se séparer d'un actif dont le prix sur le marché est devenu inférieur à celui auquel son détenteur l'avait acquis, cela même si cette dépréciation n’est que le signe avant-coureur d’une future dégradation plus importante des perspectives de cet actif.

L'aversion à la perte, de par son aspect peu rationnel eu égard aux intérêts réels de l’investisseur, constitue l’un des biais cognitifs et émotionnels recensés par les recherches en finance comportementale.

Le Quotidien du Mdecin

Source : lequotidiendumedecin.fr