Une équipe multidisciplinaire de l’Université du Michigan vient d’identifier un bénéfice potentiel au thé vert, celui de prévenir le repliement de certaines protéines cérébrales impliquées dans les maladies neurodégénératives, comme celui de la protéine bêta-amyloïde dans la maladie Alzheimer.
On sait que les agrégats de ces protéines peuvent être induits par certains ions métalliques endogènes, le zinc, le cuivre et le fer. Les chercheurs de ce laboratoire ont utilisé un extrait de thé vert et plus spécifiquement l’épigallocatechine-3-gallate (EGCG), un puissant antioxydant, afin de contrôler la formation des agrégats induite par ces ions métalliques. « Beaucoup de chercheurs sont très intéressés par la recherche sur les flavonoïdes », a déclaré Mi Hee Lim, le premier auteur du travail qui publie ses résultats dans les Proceedings of The National Academy of Sciences.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024