Malgré le traitement (échange plasmatique, immunoglobulines), de nombreux patients gardent des séquelles et/ou ne marchent pas. Une étude sur l’eculizumab, un inhibiteur du complément présentée au congrès mondial des nerfs périphériques 2017, montre une différence significative très nette du nombre de patients marchant 4 semaines après injection. Pour le Pr Shahram Attarian, « Si ces résultats sont confirmés, ce serait une 2e arme thérapeutique pour diminuer complications et séquelles (sauf si risque infectieux)».
Maladie de Guillain Barré
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Publié le 22/02/2018
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Source : Bilan Spécialiste
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