Utilisée depuis plus de 20 ans la densitométrie est un outil disponible et fiable. Pourquoi alors n’est-il pas plus utilisé, s’est demandé Jean Michel Pouillès (Toulouse) lors de la session « densitométrie ». En effet, seulement une femme ménopausée sur 7 ayant un facteur de risque bénéficie en France d’une mesure de DMO. Ces chiffres traduisent les efforts à poursuivre pour augmenter la détection de l’ostéoporose chez les femmes à risque et affiner les indications de recours à cette mesure, qui sont plus larges dans d’autres pays.
Karine Briot (Paris) a souligné que la majorité des fractures surviennent chez des femmes ayant un T score de DMO supérieur à -2,5 et non inférieur. Il est donc important de prendre en compte les autres facteurs de risque. D’après des données récentes, les traitements sont plus efficaces chez les sujets ayant les scores de risque les plus élevés.
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