« Les caractéristiques épidémiologiques de la lithiase urinaire sont en perpétuelle évolution et traduisent les modifications des habitudes nutritionnelles, des conditions sanitaires, des facteurs d’environnement ou de la prévalence des pathologies qui prédisposent au risque de lithiase » (3). En France, la lithiase urinaire atteint au moins 10 % de la population, avec une nette prévalence masculine (environ deux hommes pour une femme). Elle atteint essentiellement la population âgée de 40 à 50 ans, elle est rare chez l’enfant. Le risque de récidive est de l’ordre de 50 % à 5 ans et de 70 % à 10 ans. Ce risque est en rapport avec la prévalence des facteurs environnementaux.
La lithiase urinaire est responsable d’environ 100 000 coliques néphrétiques par an, traitées par 50 000 lithotripsies et 38 000 urétéroscopies annuellement.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024