Conçue pour comparer anti-PCSK9 et ezetimibe chez les intolérants aux statines, l’étude GAUSS-3 a davantage fait parler d’elle pour son design que pour ses résultats. Pour identifier les authentiques intolérances, les patients recevaient au préalable, en double aveugle, statines vs placebo, traitement switché après 10 semaines.
Étaient considérés comme véritablement intolérants ceux qui se plaignaient de douleurs musculaires sous statines et pas sous placebo, soit 40 % d'entre eux. Ce qui confirme à la fois que l'intolérance aux statines existe vraiment mais aussi qu'on peut en douter chez 60 % de ceux qui s'en plaignent.
Article précédent
En direct du congrès de l'ACC
Article suivant
« L'important, c'est de baisser le LDL »
En direct du congrès de l'ACC
Peut-on se « gausser » de l'intolérance aux statines ?
« L'important, c'est de baisser le LDL »
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé