Selon le député PS, Gérard Bapt, rapporteur de la mission santé de l’Assemblée nationale, la publication des rapports d’étape de l’ANSES rend « encore plus urgente » la mise en place d’une campagne d’information pour « éviter la contamination chez la femme enceinte et le très jeune enfant ».
Pour le Réseau environnement santé (RES), ces rapports « représentent une rupture avec ce qui avait été la méthode de l’ANSES jusqu’à présent, à savoir ne prendre en considération que les études menées selon le protocole des bonnes pratiques, un protocole obsolète datant des années 1970 » et qui « revenait à éliminer des centaines d’études montrant des effets sanitaires à faibles doses (95 % des études parues depuis mai 2009) pour ne retenir qu’une poignée d’études ne montrant pas d’effets à fortes doses ».
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1