Un décret daté du 2 juin, publié le 5 juin pour une entrée en vigueur le 6 juin, ajoute le virus Zika et la schistosomiase ou bilharziose urogénitale autochtone à la liste des maladies dont le signalement et la notification à l'autorité sanitaire (institut de veille sanitaire et les agences régionales de santé) sont obligatoires, afin de préserver la santé des populations exposées au virus.
Parallèlement, un arrêté précise que la dengue et le Zika en Guadeloupe, Guyane, Martinique et Saint-Martin (et Saint-Barthélemy pour la dengue) ne doivent plus être obligatoirement signalés, le virus y circulant déjà activement.
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir
Covid long : la physiopathologie est polymorphique chez les patients non hospitalisés