« C’est un peu une année usuelle dans le sens où les grandes modifications attendues n’ont pas vraiment été mises en place. Concernant la formation continue des médecins, c’est une version light qui est proposée. Il n’y a pas vraiment pour le praticien l’opportunité d’acquérir d’autres compétences hors de son champ habituel. Par exemple, pour le généraliste, se former à la radiologie ou à la biologie médicale. Sur le thème des dépassements, l’avenant n° 8 ne résout que partiellement la situation. Il ne permet pas de régler le problème de la rémunération de l’expertise et de l’accès aux soins. C’est en résumé une gestion court-termiste de la politique de santé. Il manque une vraie réforme structurante ».
*Paris
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Plusieurs avancées... et quelques renoncements
Un goût de trop peu
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Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
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